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Le coût : une dimension de plus en plus présente

Faire toujours moins cher et mieux comme le revendiquent certains, n'est pas possible durablement. Nous devons trouver le juste équilibre entre notre exigence professionnelle (temps passé et techniques utilisées), le pouvoir d'achat et la satisfaction durable de nos patients. Un appareillage un peu plus onéreux, très bien supporté, sera en réalité toujours moins coûteux qu'une solution "low cost" jamais utilisée.

Les aides financières disponibles

Dans bien des cas, il existe différents organismes pouvant prendre en charge une partie de la dépense de nos patients, allégeant ainsi le coût final. Nous les conseillons au mieux dans ces méandres administratifs, parfois complexes quand on les aborde pour la première fois.

Les enfants de 0 à 20 ans bénéficient d'une base de remboursement de 1400 € par appareil par la sécurité sociale, avec un taux de 60 %, voire 100 % en cas d'ALD. Une mutuelle classique permet souvent une prise en charge intégrale.

La CMU offre un remboursement de 850 € par appareil auditif, permettant un appareillage numérique sans "reste à charge", y compris en bilatéral.

Les retraités et non actifs avec de faibles revenus peuvent solliciter un secours extra-légal auprès de la sécurité sociale.

Pour les actifs, en plus du remboursement de la sécurité sociale (60 % de 350 € par appareil), des aides de la MDPH (RQTH, PCH) et des fonds spécifiques (FIPHFP, AGEFIPH) peuvent être mobilisées.

Les professions libérales et indépendants peuvent financer leur reste à charge via leur société.

Les adultes atteints de cécité ou d'amblyopie bénéficient des bases de remboursement enfants, assurant souvent une prise en charge complète.

Enfin, d'autres aides exceptionnelles existent pour les pensionnés de guerre (Art. 115) et les réfugiés avec l'AME, ainsi que la possibilité de déduire 50 % du reste à charge des impôts sous certaines conditions.

Pour plus d'informations, contactez-nous dès maintenant.







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